5 raisons de travailler dans le nucléaire : découvrez la semaine des métiers du nucléaire

La filière nucléaire en France est en pleine relance, avec des projets innovants et des perspectives d’emploi prometteuses. Voici 5 bonnes raisons de travailler dans le nucléaire.

Si vous êtes en recherche d’emploi ou en reconversion professionnelle, Hélène Badia, Présidente de l’Université des métiers du nucléaire, vous donne cinq (bonnes) raisons pour lesquelles vous devriez envisager une carrière dans ce secteur. Et pour en savoir plus, ne manquez pas la Semaine des métiers du nucléaire du 3 au 7 février partout en France !

1.    Parce que le nucléaire est une filière d’avenir

La filière nucléaire en France représente 220 000 emplois et plus de 3 000 entreprises, dont 85 % sont des TPE-PME. C’est la troisième filière industrielle du pays, derrière l’automobile et l’aéronautique.
« Avec des projets comme les EPR 2 à Penly et les Small Modular Reactors (SMR), les enjeux sur le parc nucléaire existant, la filière est en plein mouvement, avec de l’activité pour longtemps. » 

2.    Parce que c’est jouer un rôle clé dans la transition énergétique

« Le nucléaire, aux côtés des énergies renouvelables, est indispensable pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. » souligne Hélène Badia. D’ailleurs, grâce au nucléaire, la France est le second pays avec le mix électrique le plus décarboné de l’UE, avec une moyenne de 56 grammes de CO2 émis par kWh en 2023.

3.    Parce que le nucléaire offre des perspectives d’emploi à long terme

Construction de réacteurs nucléaires de type EPR (Réacteur pressurisé européen), prolongation de la durée de vie des centrales existantes, nouveaux mini-réacteurs SMR… Le nucléaire offre des perspectives d’emploi durables et « du travail pour de longues années ».

Travailler dans le nucléaire, c’est donc contribuer à un avenir énergétique durable.

4.    … Et une large diversité de métiers et de compétences du CAP au BAC + 5

« Nous devons casser l’idée reçue selon laquelle le nucléaire n’emploie que des ingénieurs », insiste Hélène Badia.  Avec 100 000 recrutements prévus dans les 10 prochaines années, la filière a besoin de compétences variées, allant du CAP au BAC +5. Elle couvre une large palette de métiers, des soudeurs et chaudronniers aux ingénieurs, en passant par les conducteurs de travaux et les dessinateurs-projeteurs. Que vous soyez attirés par les start-ups ou par les grandes entreprises comme EDF ou Orano, il y a une place pour vous.

5.    Un engagement fort pour l’inclusion

La Semaine des métiers du nucléaire met un point d’honneur à promouvoir l’inclusion. « Chacun doit pouvoir envisager une carrière dans le secteur nucléaire », insiste Hélène Badia. La filière s’engage à attirer des profils sous-représentés, comme les femmes, les jeunes des quartiers prioritaires, les seniors, les publics en reconversion et les jeunes des zones rurales. C’est d’ailleurs au cœur de la Semaine des métiers du nucléaire, avec près de 400 événements organisés dans le cadre de cette 3e édition.

Découvrez la Semaine des Métiers du Nucléaire

« La semaine des métiers du nucléaire, c’est l’occasion de découvrir nos métiers et les perspectives d’emploi. »

Pour en savoir plus sur les opportunités dans le nucléaire, ne manquez pas la Semaine des métiers du nucléaire du 3 au 7 février, coorganisée une nouvelle fois par l’Université des Métiers du Nucléaire et par France Travail. Au programme : conférences, forums de recrutement, portes ouvertes, job datings, et webinaires nationaux.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur monavenirdanslenucleaire.fr et dans la rubrique Mes événements Emploi. Votre future carrière vous attend dans cette filière dynamique et essentielle pour l’indépendance énergétique du pays et pour notre avenir bas carbone !